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Enfin seule et toute à moi-même


Enfin, seule et toute à moi-même,
Je puis envisager cet affreux changement
Qui du haut d'une gloire extrême
Me précipite au monument.
Psyché, acte II, scène 3, v. 785-788.

La scène reprend les grandes lignes des stances prononcées par l'héroïne de l'Andromède de Pierre Corneille, III, 1, alors qu'elle attend, liée au rocher, le monstre marin qui doit la dévorer.

Cette situation est évoquée métaphoriquement dans L'Avare: "le supplice où l'on veut l'attacher"




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