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à fuir vos yeux mon coeur se résolut
à la mode il faut m'assujettir
à notre humeur la sienne s'accommode
à quelque lâcheté/Le refus de mon bras
à quoi qu'en reprenant on soit assujettie
à recevoir le monde toujours prête
à son âge il sied mal de faire la jolie
éclaircir toute cette aventure
écorché depuis la tête jusqu'aux pieds
épouser une sotte est pour n'être point sot
étouffer en moi toute animosité
être assez fou pour faire des vers
être honnête homme, et faire mal des vers
être malade en dépit des gens et de la nature
A moins que l'on se jette à la tête des hommes
Abrégé de la farce des Précieuses
Acheter sourdement l'esclave idolâtrée
Admirer en vous l'auteur de la nature
Afin de mal user des choses qu'il vous donne
Ah mon cher Filène. Ah mon cher Tirsis
Aimer de tous côtés comme vous faites
Ainsi que la tête est comme le chef du corps
Allez mourir, rivaux d'un dieu jaloux
Allons voir cependant ces jardins, ce palais
Applique tous ses soins à me persécuter
Après vingt ans et plus de méditation
Aristote n'était rien qu'un bavard
Au Mail, à Luxembourg et dans les Tuileries
Au diable soient tous les laquais
Au premier faquin il court en faire autant
Au sort d'être cocu son ascendant l'expose
Autour de Don Garcie de Navarre
Autour de L'Impromptu de Versailles
Autour de La Critique de L'Ecole des femmes
Autour de La Gloire du Val de Grâce
Autour de La Jalousie du Barbouillé
Autour de La Princesse d'Elide
Autour de Monsieur de Pourceaugnac
Autour de la Comtesse d'Escarbagnas
Autour de la Consolation à La Mothe le Vayer
Autour de la Pastorale comique
Autour des Fourberies de Scapin
Autour des Précieuses ridicules
Autour du Bourgeois gentilhomme
Aux deux princes qui sont les derniers arrivés
Aux larmes laisse tes yeux ouverts
Aux nobles actions elle pousse les coeurs
Aux ombres du crime on prête aisément foi
Aux soupçons donné plus de matière
Avec ces pointes d'or qui me font obéir
Avec lumière et choix cette union veut naître
Avez-vous des acteurs et des actrices
Avez-vous le diable dans le corps
Avez-vous vu une jeune personne
Avis au lecteur de l'édition Sambix
Avis au lecteur de l'édition de 1683
Avis de droit canon d'Etienne Baluze
Avoir toute sa vie une bête avec soi
Ayons donc les violons pour danser
Babille tout du long de l'aune
Ballet nouveau du mariage de Panurge
Bannissable de la République des lettres
Beaucoup de gens le trouvent admirable
Bien des gens ont frondé cette comédie
Bonjour et bon an à Messieurs les cornards de Paris et de Lyon
C'est à sa table à qui l'on rend visite
C'est ainsi que tu me rends service
C'est beaucoup risquer que de leur montrer des soupçons
C'est d'un autre objet que son coeur est épris
C'est de l'esprit que procèdent les maladies
C'est de lui que je sais ce que je puis savoir
C'est dire fort net ses pensées
C'est l'honneur qui les doit tenir
C'est maintenant que je triomphe
C'est mon honneur que je vous abandonne
C'est un bonheur si haut, si relevé
Ce discours sent le libertinage
Ce grand aveuglement où chacun est pour soi
Ce jargon n'est pas fort nécessaire
Ce loup-garou qui vous donna tant de coups de bâton
Ce n'est plus le temps de la guerre
Ce n'est point ainsi que parle la nature
Ce n'est point moi qui veux me battre
Ce ne sont point de ces grands vers pompeux
Ce ne sont point les médecins qu'il joue
Ce péril dont tous deux nous avons sauvé vos charmes
Ce poison qui me court par toutes les veines
Ce qu'il aurait fallu faire pour le guérir
Ce qu'il faut pour paraître marquis
Ce qu'ont dit les autres avant eux
Ce que chez nos voisins on dit partout de nous
Ce que les autres nomment galants
Ce que plus il souhaite est ce qu'il craint le moins
Ce que voient mes yeux, franchement je m'y fie
Ce qui fait que votre fille est muette
Ce qui peut marquer les plus parfaits amants
Ce sanglier, qui par nos gens chassé
Ce sont coups du hasard, dont on n'est point garant
Ce sont partout sujets de satire
Cela vient de ce qu'il est jaloux
Ces belles raisons de sympathie
Ces bonnes nuits donnent de mauvais jours
Ces chaînes du ciel qui tombent sur nos âmes
Ces deux nymphes te prétendent
Ces eaux, ces blancs, ces pommades
Ces gens-là se trémoussent bien
Ces grands faiseurs de protestations
Ces noirs accès qui troublent sa raison
Ces sortes de périls ne m'ont jamais arrêté
Cet étrange choix où votre coeur s'engage
Cet aveu qu'elle fait avec sincérité
Cet aveu qui fait tant de peine
Cette affectation d'un grave extérieur
Cette grande raideur des vertus des vieux âges
Cette grande santé est à craindre
Cette perte m'est très sensible
Cette sécheresse étrange où l'on nous fait languir
Cette tyrannie de Messieurs les maris
Ceux qui font beaucoup de bruit
Ceux qui sont morts sont morts
Changer de mari comme on fait de chemise
Chantelou, Mémoire du traitement fait par la Maison du Roi à Monsieur le Cardinal Chigi
Chercher des raisons pour être misérable
Choisit-on qui l'on veut aimer
Comme un lys, blanche et nette
Comme un tel fils est né d'un père de la sorte
Commentaire de La Mothe le Vayer sur la Consolation
Commentaire sur la Lésine, ou l'Histoire véritable du Capitaine de la Sablonnière
Comparer leur profession à la mienne
Composés à votre honneur et gloire
Conférences recueillies par Richesource
Confondons son esprit par son propre artifice
Connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse
Consolation à La Mothe le Vayer
Conte du Lavement par force de d'Ouville
Contempler la bassesse où vous avez été
Contrefaire une dame de qualité
Correspondance de Bussy-Rabutin et du Père Rapin
Corriger le hasard par la bonne conduite
Courir de ma façon deux cents chansons
Courir tous les bals et les lieux d'assemblée
Craignez à votre tour l'effet de ma colère
Croyez, belle Psyché, croyez ce qu'ils vous disent
D'autres personnes bien plus accommodantes
D'où sort cette autre paysanne
D'un Grec je suis le sentiment
D'un autre avis que son ancien
D'un objet odieux je sais que tout déplaît
D'un tel vieillard je prise plus le zèle
D'une bonne action verser la récompense
D'une tendre amitié souffrez ce dernier gage.
Dédaigne les autres valets jusqu'à les appeler brutaux
Déjeunions en hâte avec quelques oeufs frais
Dérober l'avoine à vos chevaux
Désir insatiable d'entasser écu sur écu
D’un Dieu de douceurs et de joie
Dame, damoiselle, bourgeoise, paysanne
Dans des bois toujours verts, où d'amour on respire
Dans le Monde on n’entend que plaintes de l’Amour
Dans un âge à suivre les premiers mouvements
De beaux dictons à réciter par coeur
De ce coeur vous adresser l'offrande
De certains petits impertinents dans le monde
De ces choses qui rassasient d'abord
De cette union prévoir les conséquences
De chevaux, d'équipage et de chiens
De l'amour un temps j'ai bravé la puissance
De l'honneur féminin cherche à faire curée
De l'or, du coral et des perles
De la force que pour porter son mal
De la lui demander il me vint la pensée
De la plaisante tragédie, jouée par deux voleurs, chez un drapier de la rue Saint-Honoré
De la rigueur du Ciel je veux toujours me plaindre
De leur esprit j'honore les lumières
De méchantes pièces que tout Paris va voir
De nos Français l'ordinaire défaut
De petites folies les plus agréables du monde
De pures idées dont nous aimons nous repaître
De quel crime voulez-vous donc parler
De qui la nature est fort encline au mal
De qui puis-je tenir la nouvelle
De sa femme on se doit abstenir
De science aussi les femmes sont meublées
De se marier il donne des désirs
De si rares honneurs ne m'appartiennent pas
De tendresse innocente et d'ingénuité
De tout l'univers vous devenez jaloux
De vingt verres de vin entourez votre coeur
De vos façons d'agir je suis mal satisfait
De vos larmes, Seigneur, la source m’est bien chère
Demande-lui s'il veut venir souper
Demeurer court à si peu de choses
Depuis le cèdre jusqu'à l'hysope
Des bassesses à qui vous devez la clarté
Des chagrins songeons à nous défaire
Des choses par-dessus les maisons
Des comédies que personne ne trouve belles
Des courses de chars et semblables magnificences
Des enfants dont nous soyons les pères
Des fiers droits que sur moi vous donne la nature
Des gens qui se portent fort bien
Des gens tout aussi simples qu'elle
Des hommes en amour d'une humeur si souffrante
Des humeurs contenues dans le bas-ventre
Des médecins et de la médecine
Des moeurs du temps mettons-nous moins en peine
Des mots qui sont trop rébarbatifs
Des moyens d'exercer notre philosophie
Des nigauds qui vous regardent et se mettent à rire
Des nouvelles de votre affaire
Des pères qui vivent autant que leurs fils
Des personnes faites comme vous êtes
Des pièces saintes de M. de Corneille
Des secrets qui ne s'apprennent point
Des sentiments d'honneur et de vertu
Des vers qu'il en savait par coeur
Description des superbes machines et des magnifiques changements de théatre du Festin de pierre
Description du Père Ménestrier
Deux procureurs et deux sergents
Devis des ouvrages de peinture du 3 décembre 1664
Diagnostiques et prognostiques
Dialogue de la Mode et de la Nature
Dire à mille gens tout ce que d'eux on pense
Discourir des choses et non pas des mots
Disparaissez donc, je vous prie
Divertissement à Chantilly et à Dunkerque, 1671
Don Juan ou le Festin de pierre
Donner sur tout ce qu'il y a de plus beau
Dorante, Damis, Cléonte, et Lycidas
Doubler les quatre-temps et les vigiles
Doucement il faut boire la chose
Du Prête-Jean, et du Grand Mogol
Du commerce des sens nette et débarrassée
Du faux avec le vrai faire la différence
Du savoir sans vouloir qu'on le sache
Du secret que vous m'avez fait
El burlador de Sevilla y convidado de piedra
El marido hace mujer y trato muda costumbre
Elle croit aimer parfois qu'il n'en est rien
Elle est montée vite dans sa chambre
Elle ne passera pas la journée
Elle tousse pour avertir son mari
Elle vous fait présent de cette cassolette
Embrasser ma défense sans me connaître
Employer de l'argent à des perruques
En Thessalie, dans la vallée de Tempé
En ami je vous ouvre mon coeur
En bonnet de nuit et robe de chambre
En des termes exprès, dire que je vous aime
En fuyant, sans se faire prier
En riant instruire la jeunesse
En se mariant le crime en soit ôté
En toute douceur laisse aller les affaires
En une humeur noire, en un chagrin profond
En vérité je plains les fâcheux embarras
En vous faisant moitié de ma personne
Encore vingt ou trente ans de cette vie-ci
Enfin seule et toute à moi-même
Entretenir cet amant sous mon nom
Est-il possible que vous ne croyiez point
Est-il temps d'aller en masque
Et cependant c'est moi qui vous le dis
Et dans la guerre il fait merveille
Et du galant, et du bien tourné
Eussiez-vous voulu qu'il se fût laissé tuer
Fâché d'être sage à leurs yeux
Faire les choses de bonne grâce
Faisant des cérémonies pour s'asseoir
Femme qui compose en sait plus qu'il ne faut
Filio non potest preferri nisi filius
Flatter toujours le faible de leur coeur
Fort rond de toutes les manières
Fuir, dans un désert, l'approche des humains
Fuir obstinément ce que suit tout le monde
Fuyons-en promptement l'atteinte envenimée
Gâter un homme sans qu'il en coûte rien
Garder chez soi une grande somme d'argent
Gardien de la virginité des filles
Grammaire, poésie, rhétorique...
Histoire d'Abénamin et de Lindarache
Histoire de Méréonte et Dorinice
Histoire de Sésostris et Timarète
Holà, Francisque, Dominique, Simon
Hors de son sentiment on n'a pu l'entraîner
Idolâtrer en vous la beauté souveraine
Ignare de toutes les bonnes disciplines
Ignoti nulla est curatio morbi
Il a plus de bon sens que tel qui rit de lui
Il contrefait plusieurs personnes ensemble
Il convitato di pietra, version du recueil Ciro Monarca
Il convitato di pietra, version du recueil Montalvo
Il convitato di pietra, version du recueil napolitain
Il dottor bacchetone, version du recueil Magliabecchiano
Il dottor bacchetone, version du recueil napolitain
Il est aisé de voir que vous aimez un peu
Il est nécessaire d'aimer pour vivre heureusement
Il faut du haut et du bas dans la vie
Il faut que je m'engage de tous côtés
Il faut que tu contrefasses le médecin
Il faut que vous demeuriez d'accord
Il faut que vous vous battiez, ou que vous épousiez ma sœur
Il faut que vous vous mettiez dans ce sac
Il lui porte la main sur le sein
Il lui serre le bout des doigts
Il m'avertit des gens qui lui font les yeux doux
Il n'a considéré père ni parenté
Il n'a d'autre dessein que de vous abuser
Il n'est rien de plus faible et de plus imbécile
Il n'y a rien à meilleur marché que le bel esprit
Il n’y a pour s’exprimer que la prose, ou les vers
Il n’y a rien qui ne soit si utile dans un État que la musique
Il ne faut écouter que la vengeance
Il ne m'en est resté que deux des plus petites
Il ne se passe point d'actions
Il ne se peut donc pas que tu ne sois bien à ton aise
Il ne vous manquait plus que d'être hypocrite
Il peut bien se flatter du bonheur d'être aimé
Il prend Georges Dandin pour Claudine
Il prend un bâton et lui en donne
Il prend un morceau d'un des plats
Il regarde en pitié tout ce que chacun dit
Il se faut bien garder de confondre
Il se mariera tant que vous voudrez
Il se pique ordinairement de galanterie
Il se travaille à dire de bons mots
Il semble que tout son corps soit démonté
Il sort vainqueur de cette course
Il tradito de Basilio Locatelli
Il tradito du recueil Corsiniana
Il tradito du recueil napolitain
Il vaut mieux de prendre un vieux mari
Il vecchio avaro overo li scritti
Il vient en courant et fait tomber Harpagon
Il vous faut de moi détacher à l'instant
Il vous reste de quoi consoler
Il y a grande différence de vous à nous
Ils comptent les défauts pour des perfections
Ils les retournent comme un habit
Ils parlent tous deux en même temps
Ils s'abandonnent à la débauche
Ils s'en servent pour eux-mêmes
Indulgent pour les ouvrages des autres
Interrompre comme cela une comédie
J'ai bien vu qu'Oronte, afin d'être flatté
J'ai ce soufflet fort sur le coeur
J'ai conçu, pour vous, une estime incroyable
J'ai l'honneur en recommandation
J'ai pensé plus de vingt fois oublier ma résolution
J'ai présentement besoin de cent pistoles
J'ai résolu de prendre un chemin tout contraire
J'ai senti de l'estime et de la complaisance
J'aime mieux être incivil qu'importun
J'entends que la mienne vive à ma fantaisie
Jaloux jusques en un tel point
Jamais de ces soupçons qu'un jaloux fait paraître
Jamais les âmes bien saines ne se paient de rigueur
Jamais personne n'a aimé comme je fais
Je commence à perdre mon courroux
Je crains un peu ce que vous savez
Je dis les mêmes choses que vous
Je dois vous annoncer une nouvelle
Je l'ai laissé sur votre table
Je laisse à son choix liberté tout entière
Je le soutiendrai devant tout le monde
Je le suis, ma Psyché, de toute la nature
Je les ai lues autant qu'un autre
Je les tiens un peu intéressés
Je lui couperais sur-le-champ les oreilles
Je lui dis que vous n'y êtes pas
Je me dédirai, pour l'amour de vous
Je me lasse de vous avoir sur les bras
Je me vais d'un rocher précipiter
Je n'ai pas songé à vous donner un peu de collation
Je n'ai rien fait que vous n'eussiez fait en ma place
Je n'aime pas les faiseurs de remontrances
Je ne donne point dans tous ces galimatias
Je ne l'aimerais pas si je ne croyais l'être
Je ne me suis pas seulement donné la peine de l'écouter
Je ne puis m'empêcher de parler
Je ne puis m'en ressouvenir sans pleurer
Je ne sais combien de maladies
Je ne suis pas sûre que vous m'aimiez toujours
Je ne suis plus enfant, et je l'ai trop été
Je ne veux plus m'embarrasser de femme
Je pardonne toutes ces menaces
Je paye l'intérêt de ma mauvaise mine
Je serais bien fou de m’aller fourrer parmi eux
Je souffleterais mille fois mon visage
Je suis le Dieu le plus puissant des Dieux
Je suis mal satisfait de mon fils
Je suis obligé de donner à souper
Je suis revenue de toutes mes folles pensées
Je tâche à contenter ses voeux
Je trouve qu'on pourrait rechercher leur tendresse
Je vais composer contre eux une satire
Je vais lui parler tout à l'heure
Je veux être le premier à rompre avec vous
Je veux avoir un gendre gentilhomme
Je veux conserver mon ressentiment
Je veux que Sganarelle se revête de mes habits
Je veux que vous me les voyiez danser
Je voudrais savoir si vous condamnerez ou non
Je vous défends de procéder au mariage
Je vous enverrai les marchands
Je vous excusai fort sur votre intention
Je vous expliquerai ces choses
Je vous invite à souper avec elle
Je vous invite à venir demain souper avec moi
Je vous le demande avec larmes
Journal d'Olivier d'Ormesson, 17 janvier 1667
Jugement sur la comédie du Festin de pierre, 1678
Jules, Annibal, Raphaël, Michel-Ange
Jusques à quand ce coeur veut-il s'effaroucher
Jusques aux Cieux a porté de son choix
L'épaule de gauche plus quartée
L'Amant indiscret ou le Maître étourdi
L'Art de peinture traduit en français
L'Ecole des filles en dialogues
L'Eglise des religieux de la Charité
L'Héritier ridicule ou la Dame intéressée
L'Impromptu de l'Hôtel de Condé
L'Introduction à la vie dévote
L'affront que nous fait son manquement de foi
L'allégresse du coeur s'augmente à la répandre
L'ambassade de Süleyman Ağa (Soliman Aga) dans la Gazette de l'année 1669
L'ambassade de Süleyman Ağa (Soliman Aga) dans la Gazette de l'année 1670
L'ambassade de Soliman Aga Muta-Ferraca (Müteferrika Süleyman Ağa) dans la Gazette de l'année 1669
L'amitié demande un peu plus de mystère
L'amour, par les Zéphyrs s'est fait prompte justice
L'amour-propre engage à se tromper soi-même
L'amour aime surtout les secrètes faveurs
L'appétibilité ou la convenance
L'astre qui s'obstine à me désespérer
L'avocat, traînant ses paroles
L'enfer dans mon coeur a soufflé son poison
L'entêtement où vous êtes pour elle
L'espoir, plus que l'amour, est ce qui les attire
L'esprit doit sur le corps prendre le pas
L'honnêteté d'une femme n'est pas dans les grimaces
L'honneur de votre connaissance
L'honneur est infiniment plus précieux que la vie
L'humeur du frère de Marc Tulle
L'ignorance, et non pas la science
L'iniquité de la nature humaine
L'innocence à rougir n'est point accoutumée
L'inquiétude de changer de place
L'intrigue de la pastorale, quasi-identique à celle des Fêtes de l'Amour et de Bacchus
L'on me dérobe encor la réputation
L'oracle que les destins ont rendu
L'oreille rouge et le teint fleuri
L'un des ces jours à la comédie
L'une n'est pas moins difficile à faire que l'autre
L'usage semble en autoriser le vol
LES SPECTACLES ET LA VIE DE COUR SELON LES GAZETIERS (1659-1674)
La Critique de L'Ecole des femmes
La Fête de Versailles du 18 juillet 1668
La Fontaine, Lettre à Maucroix
La Gazette d'Amsterdam, 5 juillet 1668
La Gazette d'Amsterdam, 9 mars 1673
La Gazette du 20 septembre 1670
La Gravette de Mayolas, Lettre en vers du 20 septembre 1665
La Précaution inutile de Scarron (extrait)
La Précaution inutile de d'Ouville
La basilique, puis la céphalique
La belle partie où triompha Zeuxis
La campagne de Flandre dans les Continuateurs de Loret en 1667
La campagne de Flandre dans les Continuateurs de Loret en 1668
La charité nous oblige à faire plaisir aux personnes
La concurrence de deux princes
La constance est facile en mille occasions
La constance n'est bonne que pour des ridicules
La curiosité naît de la jalousie
La démangeaison de lire ses ouvrages
La fable du Corbeau et du Renard
La fausse monnaie à l'égal de la bonne
La femme est le potage de l'homme
La grâce avec laquelle vous mangiez votre pain
La grande affaire est le plaisir
La jalousie, les chagrins et les soupçons
La jalousie est un monstre odieux
La musique de Monsieur de Pourceaugnac
La musique du Bourgeois gentilhomme
La naissance n'est rien où la vertu n'est pas
La nature produit des ressemblances
La noblesse, de soi, est bonne
La parfaite raison fuit toute extrémité
La philosophie a quatre parties
La plupart des fils de famille
La plus fâcheuse de toutes les inquiétudes
La plus grande de toutes les folies
La profession d'hypocrite a de merveilleux avantages
La puissance que le Ciel me donne sur toi
La quantité des sottes visites
La raison n'est pas ce qui règle l'amour
La tête lui grouille-t-elle déjà
La tête plus grosse que le poing
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1659
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1660
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1661
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1662
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1663
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1664
La vie théâtrale et musicale selon Loret en 1665
La voix A se forme en ouvrant fort la bouche
Laissait charmer des yeux qui ne vous voyaient pas
Laisse-t-il aux esprits aucune liberté
Laissons, laissons parler mon chagrin et le vôtre
Latin, grec, hébreu, syriaque, chaldéen, arabe...
Le Ballet des Muses dans la Gazette
Le Festin de pierre de Dorimond
Le Festin de pierre de Thomas Corneille
Le Festin de pierre de Villiers
Le Grand Turc et la République de Venise
Le Jeu du Piquet, plaisant et récréatif
Le Médecin volant de Biancolelli
Le Médecin volant de Boursault
Le Mariage forcé selon Philidor
Le Mercure galant, 25 mai 1672
Le Mercure galant, octobre 1678
Le Pharisien du temps ou le Dévot hypocrite
Le Portrait du peintre ou la Contre-Critique de l'Ecole des femmes
Le Roi fait cette grâce extrême
Le bien se réciproque avec la fin
Le chagrin et le supplice de cette vie
Le changement du coeur d'un amant
Le chemin que je lui fais faire
Le coeur m'en saigne quelquefois
Le comble affreux de mes peines mortelles
Le commerce de tout le beau monde
Le courroux de Monsieur Purgon
Le courroux du point d'honneur
Le destin vous fut bien favorable
Le diamant que vous m'avez forcée à prendre
Le docte traité que Sénèque a composé de la colère
Le doux plaisir de se raccommoder
Le fond de notre coeur, dans nos discours, se montre
Le fondement de toutes les sciences,/La grammaire
Le gelosie fortunate del principe Rodrigo
Le grand chemin d'enfer et de perdition
Le jaloux aime plus, et l'autre aime bien mieux
Le lard d'une douzaine de cochons
Le mal n'est pas si grand que vous le faites
Le mariage n'est pas un badinage
Le meilleur ami de toute la famille
Le meilleur est de ne rien dire
Le monde, par vos soins, ne se changera pas
Le moyen de chasser ce qui fait du plaisir
Le nom de Monsieur est, chez lui, hors d'usage
Le nom de ridicule et misérable auteur
Le prix dont sont payés mes soins
Le rang où le ciel m'a fait naître
Le respect que l'on doit à nos mystères
Le retranchement de ces syllabes sales
Le savoir enrouillé des pédants
Le siècle n'a rien qu'on ne confonde
Le soleil semble s'être oublié dans les cieux
Le souhait présuppose des moyens
Le souvenir m'en charme et m'empoisonne
Le sujet ne fournit que trop de lui-même
Le supplice où l'on veut l'attacher
Le temps ne fait rien à l'affaire
Le tonnerre tombe sur Don Juan
Le vain encens qu'ils souhaitent
Le voilà ce serpent, ce monstre impitoyable
Les Allemands, curieux lecteurs et inspectateurs
Les Amours d'Aristandre et de Cléonice
Les Amours de Diane et d'Endymion
Les Amours de Psyché et Cupidon
Les Dieux ne sont point faits comme se les fait le vulgaire
Les Divertissements de Versailles (extraits)
Les Français ont quelque chose en eux de poli
Les Français ont un fonds de galanterie
Les Plaisirs de l'Ile enchantée
Les Précieuses ridicules mises en vers
Les Quatrains de Pibrac et les doctes Tablettes
Les Relations véritables, 28 juillet 1668
Les alliances avec plus grand que soi
Les bêtes ne sont pas si bêtes
Les boues des halles et de la place Maubert
Les célestes attraits dont vous êtes pourvue
Les choses qui ne regardent pas directement Dieu
Les démangeaisons qui nous prennent d'écrire
Les désordres criminels de la vie que j'ai menée
Les dieux mêmes sont assujettis à son empire
Les différences/Des pinces de mon cerf et de ses connaissances
Les dissensions qui sont entre nos anciens maîtres
Les douces libertés que l'âge me permet
Les encens qu'aux miens seuls on doit rendre
Les enfants comptent les jours des pères
Les enfants que l'on conçoit en joie
Les fâcheux besoins des choses de la vie
Les fêtes de l'amour et de Bacchus
Les femmes aiment les dépenses qu'on fait pour elles
Les femmes docteurs ne sont point de mon goût
Les femmes sont des animaux d'un naturel bizarre
Les femmes y sont faites à coqueter
Les fils souhaitent qu'ils meurent
Les frais de ces deux mariages
Les galants n'obsèdent jamais que quand on le veut bien
Les grâces dépendent de l'action
Les grâces du ciel que l'on renvoie
Les injures des amants n'offensent jamais
Les jalousies conçues sur de fausses apparences
Les louanges qui lui ont été données
Les menaces ne m'ont jamais fait mal
Les nez qui portent des lunettes
Les originaux ont fait supprimer la copie
Les pieds de mouton qu'elles emploient
Les plaintes en musique dans les comédies-ballets et quelques ballets
Les plus honnêtes sont les plus dangereuses
Les plus importants mystères de notre foi
Les plus vieux sont les plus charmants
Les remèdes que nous devons faire à Monsieur
Les retours des coquettes du temps
Les ridicules qui les imitent mal
Les services que nous rend une main ennemie
Les soins où je vois tant de femmes sensibles
Les songes sont comme des miroirs
Les soupirs, la bouche et les yeux
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1665
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1666
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1667
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1668
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1669
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1670
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1671
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1672
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1673
Les spectacles et la vie de cour dans les Continuateurs de Loret en 1674
Les spectacles et la vie de cour dans les Lettres de Mayolas et de Robinet en 1670
Les spectacles et la vie de cour dans les gazettes de Mayolas et de Robinet en 1671
Les talents que Dieu leur a donnés
Les talents que j'ai eus du Ciel
Les transports d'une passion condamnable
Les vieux fatras qui traînent dans les livres
Les violences ne sont guère souffertes
Les vues favorables de la lumière
Lettre à un homme qui m'avait écrit
Lettre de De Lionne du 26 février 1666
Lettre de Desfontaines à de Lionne
Lettre de Guy Patin du 22 septembre 1665
Lettre de Guy Patin du 23 septembre 1665
Lettre de Mlle Desjardins à Monsieur de ...
Lettre de cachet du 7 janvier 1674
Lettre du 27 juillet 1668 à Philippe Doublet
Lettre du duc d'Enghien d'octobre 1665
Lettre du duc d'Enghien du 18 septembre 1665
Lettre du duc d'Enghien du 8 novembre 1665
Lettre en vers 29 novembre 1665
Lettre en vers à Madame, 10 novembre 1668
Lettre en vers à Madame, 21 juillet 1668
Lettre sur la comédie de L'Imposteur
Lettre sur les affaires du théâtre
Lettre sur les observations d'une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre
Leurs plaisirs par le jêune des nôtres
Libertins sans savoir pourquoi
Lier promptement toutes ces choses ensemble
Littérature facétieuse de la lésine
Livret de ballet du Mariage forcé
Livret du Bourgeois gentilhomme
Livret du Divertissement de Chambord
Livret du Divertissement royal
Livret du Grand Divertissement royal de Versailles
Livret du Malade imaginaire de 1673
Loret, La Muse historique, Lettre VII du samedi 14 février 1665
Loret, La Muse historique, Lettre XLIII du samedi 30 octobre 1660
Loret, La Muse historique, Lettre XLIV du samedi 8 novembre 1664
Loret, La Muse historique, Lettre XLVIII du samedi 6 décembre 1659
Loret, La Muse historique, Lettre XLVI du samedi 19 novembre 1661
Loret, La Muse historique, Lettre XVIII du samedi 10 mai 1664
Loret, La Muse historique, Lettre XXI du samedi 2 juin 1663
Loret, La Muse historique, Lettre XXVIII du samedi 17 juillet 1661
Loret, La Muse historique, Lettre XXVI du samedi 7 juillet 1663
Loret, La Muse historique, Lettre XXXIII du samedi 20 août 1661
Loret, La Muse historique, Lettre XXXIV du samedi 27 août 1661
Loret, La Muse historique, Lettre XXXXIII du samedi 30 octobre 1660
Loret, La Muse historique, Lettre XXX du samedi 2 août 1664
Loret, La Muse historique, Lettre XX du 24 mai 1664
Loret, La Muse historique, lettre II du samedi 13 janvier 1663
Loret, La Muse historique, lettre V du samedi 2 février 1664
Lorsqu'on l'assaisonne en louange
Lorsqu'un franc campagnard, avec sa longue rapière
Lui donner la cassette à garder
Lui passant la main sur le sein
Lui remplir l'esprit de sa philosophie
M'amuser à raisonner avec vous
M'inspire pour la vaincre une adresse nouvelle
M'ont promis de faire leur devoir
Médecine qu'on appelle rationnale
Mémoires du Chevalier d'Arvieux
Mériter si peu de votre naissance
Ma Fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts
Ma complaisance est sur tous épanchée
Ma cousine donne dans le vrai de la chose
Ma raison, renferme mes transports
Madame, et qu'on vous laisse apprendre de sa bouche
Maintenant que je le considère
Maintenir l'univers dans une paix profonde
Mais ce que j'ai souffert m'a trop défigurée
Mais la douceur achève de charmer
Mais vous, que sentez-vous, ma sœur
Marc'Antionio Giustinian, Lettre du 11 janvier 1667
Marc'Antionio Giustinian, Lettre du 15 février 1667
Marchand qui perd ne peut rire
Mayolas, Lettre de fin février 1670
Mayolas, Lettre en vers à S. A. Madame la Duchesse de Nemours du 21 juin 1665
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi de la mi-juillet 1670
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 17 novembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 1er septembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 25 novembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 2 novembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 8 décembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du 8 septembre 1669
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du mois de janvier 1670
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du mois de juin 1670
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du mois de mai 1670
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du mois de novembre 1670
Mayolas, Lettre en vers et en prose au Roi du mois de septembre 1670
Me battre avec mon homme, ou bien le faire assassiner
Me faire injustice aux yeux de l'univers
Me justifier les termes que voici
Me laisser aller à tout ce qui m'attire
Me soumettre en esclave à vos volontés
Me voir revivre en d'autres moi-mêmes
Merveilleux pouvoir de la vertu magique
Mes frères, non plus que votre père
Mes yeux fassent mal à personne
Mettez encore deux cents pistoles
Mettre à honnête intérêt l'argent que vous gagnez
Mettre en madrigaux toute l'histoire romaine
Mieux être encor cocu que trépassé
Mille accidents, ni votre indifférence
Moins redoutable que deux beaux yeux
Mon âme et mon corps marchent de compagnie
Mon âme restait libre en captivant tant d'âmes
Mon astre me disait ce que j'avais à craindre
Mon coeur de cela ne peut s'accommoder
Mon faible est étrange pour vous
Mon plus grand ennemi se rencontre en moi-même
Monsieur, je ne puis pas m’en empêcher
Mourir frère, enfants, mère et femme
Multitude de gens de provinces différentes
N'allez point tenter sur l'avenir
N'avoir soin que de me contenter
N'est-ce pas assez d'un pour tuer une personne
N'est-il pas coupable, alors qu'il ne croit pas
N'est pas toujours produit par un rapport d'humeurs
N'y a-t-il point quelque danger
Ne craignez que pour vous, c'est vous que l'on doit plaindre
Ne donnez point tant à votre imagination
Ne me confiez point votre argent
Ne me vantez donc plus ces droits de la naissance
Ne point toucher à des matières
Ne pouvoir briser la chaîne qui l'attache
Ne sais-tu pas bien ce que je veux dire
Ne tâchons qu'à demeurer amies
Ni saint, ni Dieu, ni loup-garou
Nommer en grec toutes les maladies
Non point par charité, mais par un trait d'envie
Nos auteurs, législateurs et glossateurs
Notes de Biancolelli sur le Festin de pierre
Nous allons consulter ensemble
Nous en voyons qui paraissent joyeux
Nous inspirer un désir de pécher
Nous jugeons de tout chacun diversement
Nous leur jouerons tous deux une pièce
Nous n'aimons rien tant que ce qui nous ressemble
Nous nous coupions la gorge ensemble
Nous nous voyons obligés, mon frère et moi, à tenir la campagne
Nous pouvons avoir été trompés
Nous sommes en passe de l'être
Nous sommes perdus, si cet entretien dure
Nous venons implorer votre aide
Où du ciel fait pencher l'influence
Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre
Oh, oh, je n'y prenais pas garde
Olibrius, l'occiseur d'innocents
Olympe qui a été une débauchée
On court au-devant du souhait des gens
On en redoute toutes les douceurs
On est dupé par leurs dextérités
On est toujours bien aise d'être aimée
On loue aujourd'hui tout le monde
On n'acquiert point leurs coeurs sans de grandes avances
On n'y dure point, on n'y tient pas
On ne doit point songer à garder aucunes mesures
On ne montre jamais tout ce que l'on ressent
On ne prendra pas votre avis là-dessus
On ne souffre point la raillerie
On peut, par tous pays, être content de soi
On sait tout chez moi hors ce qu'il faut savoir
On se moque de mes ordonnances
On verra, quand je me marierai
On verra dans peu nos règlements
Opéra de Lully et de Thomas Corneille, 1678
Oranges, citrons doux et confitures
Ordonnance de l'Archevêque de Paris
Panégyrique de l'Ecole des femmes
Par de pareils objets les âmes sont blessées
Parle, afin qu'on te connaisse
Pas un mot qui de soi ne soit fort honnête
Payer les violons pour faire danser les autres
Pendable après les avoir faits
Pernicieux amusements des esprits oisifs
Petite scène d'un dépit amoureux
Peut-être ce Palais n'est qu'un enchantement
Pierre Corneille, Remerciement au roi
Plus beau que tout ce qu'a jamais fait Homère
Plus d'esprit qu'il n'est gros
Plus il est jaloux, plus nous devons l'aimer
Plus on aime quelqu'un, moins il faut qu'on le flatte
Plus qu'il ne le veut lui-même
Plutôt que d'épouser un tel mari
Plutôt que de pencher vers un second amour
Point au théâtre à parler de ces matières
Point d'homme qui soit moins malade que vous
Posséder par un autre un coeur qu'on a manqué
Potage de perdrix aux choux verts
Pour Monsieur de ..., à Mademoiselle de ...
Pour chose véritable un objet décevant
Pour devenir un jour nos tyrans
Pour la beauté du fait, avoir perdu ma cause
Pour la gloire et pour la réputation
Pour le moins font-ils foi d'une âme bien atteinte
Pour louer ses vers, je suis son serviteur
Pour ne point manquer à la civilité
Pour qui les édits n'ont point fait de défense
Pour se bien conduire en ces difficultés
Pourquoi il ne fait point jour la nuit
Pourrai-je à mon tour parler en liberté
Pourvu qu'à la personne on ne s'attaque pas
Pousser le doux, le tendre et le passionné
Pousseuses de tendresse et de beaux sentiments
Prêchent la retraite au milieu de la cour
Prier Dieu, m'aimer, coudre et filer
Principes des choses naturelles
Puis-je empêcher les gens de me trouver aimable
Qu'aux discours des muguets elle ferme l'oreille
Qu'elle se saignât pour une occasion comme celle-ci
Qu'est-ce que dans le monde on ne corrompt point tous les jours
Qu'ils s'accordent ou se gourment
Qu'on aille dire que je n'y suis pas
Qu'on court de risque à les peindre
Quand il faudra changer sa manière de vie
Quand je le fis, j'étais si jeune
Quand je vois vivre entre eux les hommes
Quantité de pain trempé dans du vin
Quatrains de la Confrérie de l'Esclavage
Que diable allait-il faire dans cette galère
Que dites-vous de ce jeune prince
Que dois-je, après tout, à leur magnificence
Que facilement on se laisse persuader
Que je tombe à vos pieds d'un éclat de tonnerre
Que les soudains retours de son âme inégale
Que ne laisse-t-il en repos les chrétiens
Que ne veut-on aussi me marier
Que nous servira d'avoir du bien
Que puis-je résoudre à voir cet homme mort
Que visiteraient marquis et beaux esprits
Que voulez-vous dire avec votre Mamamouchi
Quel abominable maître me vois-je obligé de servir
Quel affront nous fait le transport d'un jaloux
Quel est le superbe édifice que je vois entre les arbres
Quel heureux sort en ce lieu vous amène
Quelle perte est-ce que la sienne
Quelles vapeurs m'offusquent le cerveau
Quelque assassinat de ma franchise
Quelque moineau qu'il a pris fraîchement
Quelques-uns qui l'ont traitée plus doucement
Quelques dehors civils, que l'usage demande
Qui déclare la guerre au conjugal lien
Qui dans le cœur d'un roi montrent de la faiblesse
Qui de mes propres traits m'était blessé pour vous
Qui frappe en maître où je suis
Qui joueront et donneront cadeaux
Qui l'emportera, de ce diable ou de nous
Qui m'attache à tous vos intérêts
Qui n'aiment point de grands enfants
Qui ne veut pas qu'un gentilhomme sache rien faire
Qui ne veut pas que sa femme soit muette
Qui peut frapper de cette sorte
Qui se sent morveux, qu'il se mouche
Qui souffrent doucement l'approche des galants
Quiconque remuera, je l'assomme
Récit de l'histoire du Tartuffe dans l'édition des Oeuvres de 1682
Récit en prose et en vers de la farce des Précieuses
Répondre, comme on peut, à ses empressements
Réponse à la Gloire du Val-de-Grâce de M. de Molière
Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière
Racine, Lettre aux deux apologistes de l'auteur des Hérésies imaginaires
Raisonner est l'emploi de toute ma maison
Rarement passent pour gens de bien
Relâchez-vous un peu des droits de la naissance
Relation de la fête de Versailles
Relation des divertissements que le Roi a donnés aux Reines dans le parc de Versailles
Relation des magnificences faites par M. Fouquet à Vaux-le-Vicomte
Rendre grâce au Ciel qui fait tout pour le mieux
Renverse le bon droit et tourne la justice
Renversement de toute la nature
Repas friands qu'on donne à mon oreille
Reprend les défauts des hommes
Retardiez la naissance du jour
Ridicule en de certaines choses, et honnête homme en d'autres
Rien de si noir que cette perfidie
Rien qui ne soit si utile que la musique
Robinet, La Muse royale, 1er janvier 1660
Robinet, Lettre du 17 décembre 1672
Robinet, Lettre du 18 février 1673
Robinet, Lettre du 19 janvier 1671
Robinet, Lettre du 1er août 1671
Robinet, Lettre du 24 janvier 1671
Robinet, Lettre du 25 février 1673
Robinet, Lettre du 25 juillet 1671
Robinet, Lettre du 26 novembre 1672
Robinet, Lettre du 3 octobre 1671
Robinet, Lettre en vers à Madame du 10 août 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 10 novembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 11 février 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 12 décembre 1666
Robinet, Lettre en vers à Madame du 12 juin 1666
Robinet, Lettre en vers à Madame du 12 juin 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 12 octobre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 13 février 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 14 janvier 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 15 août 1666
Robinet, Lettre en vers à Madame du 15 février 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 15 septembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 16 novembre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 17 mars 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 17 novembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 18 août 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 19 juin 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 1er mars 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 20 février 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 20 septembre 1665
Robinet, Lettre en vers à Madame du 20 septembre 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 21 décembre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 21 janvier 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 21 juillet 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 21 juin 1665
Robinet, Lettre en vers à Madame du 22 décembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 22 février 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 22 juin 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 22 mars 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 22 septembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 23 février 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 23 janvier 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 23 novembre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 24 mars 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 26 décembre 1666
Robinet, Lettre en vers à Madame du 27 février 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 29 septembre 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 2 janvier 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 2 mars 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 2 novembre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 30 janvier 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 31 août 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 31 mai 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 3 mai 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 3 mars 1668
Robinet, Lettre en vers à Madame du 4 janvier 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 5 décembre 1666
Robinet, Lettre en vers à Madame du 5 octobre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 6 août 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 6 avril 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 7 décembre 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 8 février 1670
Robinet, Lettre en vers à Madame du 8 novembre 1665
Robinet, Lettre en vers à Madame du 8 octobre 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 9 août 1665
Robinet, Lettre en vers à Madame du 9 février 1669
Robinet, Lettre en vers à Madame du 9 janvier 1667
Robinet, Lettre en vers à Madame du 9 mars 1669
Robinet, Lettre en vers à Monsieur du 20 septembre 1670
Rochers, ne soyez point fâchés
Rompre, de ce coeur, l'attachement terrible
Rompre en visière à tout le genre humain
S'avise de courir maintenant les rues
S'il n'était dans la bouteille
Sécher même les draps me semblait ridicule
Séparant le bon d'avec son apparence
Sa naturelle paresse à soutenir la conversation
Sacrifier gloire et réputation
Salit à tous moments l'imagination
Sans employer la langue, il est des interprètes
Sans le congé de ceux qui vous ont donné l'être
Sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour
Sans le secours d'Horace et d'Aristote
Sans le secours de ces messieurs
Sans leur dire gare elle abat les humains
Sans qu'elle apporte quelque chose
Satire IX d'Horace, traduite par Michel de Marolles
Savoir ce que c'est d'être honnête
Savoir s'il faut qu'un amant soit jaloux
Se barbouiller de grec et de latin
Se dispenseront de se soumettre aux vôtres
Se jeter bien à propos sur elle
Se mêlent de beaucoup d'autres choses
Se résoudre à confesser qu'il aime
Ses larmes ont réveillé en moi
Ses mouvements qui font toute ma peine
Si d'un peu d'amitié... si tu seras sensible
Si je le puis faire en conscience
Si la grande règle de toutes les règles n'est pas de plaire
Si le remords le pouvait prendre
Si mon cœur encor revoulait sa prison
Si pour moi votre bouche avait parlé sans feinte
Si tout cela s'est bâti de lui-même
Si tu fais la moindre instance
Sois complaisante aux civilités qu'on te rend
Sommes-nous chez les Turcs pour renfermer les femmes
Sonnet à la princesse Uranie sur sa fièvre
Sonnet de consolation de l'abbé d'Aubignac
Sortirai-je de la pudeur du sexe
Souffrez que ces demeures sombres
Soumis aux volontés de celle qu'on aime
Soupçonner mon amour de faiblesse
Source de tous les biens inépuisable et pure
Sous des déguisements de diverses natures
Sous quel sort mon astre m'a fait naître
Soutenir avec fermeté l'abord de votre père
Stances sur l'Ecole des femmes
Stefano Baldini, Relazione del viaggio fatto dall’ill.mo Sig. Card.e Chigi
Subligny, La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin du 17 février 1667
Subligny, La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin du 24 février 1667
Subligny, La Muse de la Cour à Madame du 28 novembre 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Madame du 31 octobre 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin du 17 juin 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin du 18 novembre 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin du 26 août 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin du 9 décembre 1666
Subligny, La Muse de la Cour à Monseigneur le Duc de Valois du 29 novembre 1665
Suis-je pour la chasser sans cause légitime
Suivre ce que l'usage y fait de changement
Sujet de la pièce, contenu dans l'édition Pépinglé de 1668
Sur la raison et sur le bel usage
Sur ma mère il a grande puissance
Sur un carrosse de couleur amarante
Tant bâiller, tant se frotter les yeux
Tant de Philis, d'Iris, d'Amarantes
Tant de beurre pour faire un quarteron
Tant que dans celui-ci l'on peut être de mise
Texte français de l'Amphitruo de Marolles
Texte français de l'Aululaire de Marolles
Texte français du Phormion de Marolles
Texte latin de l'Amphitruo de Marolles
Texte latin de l'Aululaire de Marolles
Texte latin du Phormion de Marolles
Textes du XVIIe siècle en version intégrale
Toujours notre coeur est en notre pouvoir
Tourner en raillerie ce que les hommes révèrent
Tous ces compliments sont choses inutiles
Tous ces savantas qui ne sont bons à rien
Tous ces soupirs chez vous sont choses vaines
Tous les grands hommes ont toujours du caprice
Tous les vices à la mode passent pour vertus
Tous trois le chargent de coups
Tout ce que ses yeux vous promettent
Tout le monde a couru en foule
Tout le monde a recours aux médecins
Tout le plaisir de l'amour est dans le changement
Tout transporté et ne pouvant parler
Toute âme est libre à nommer son vainqueur
Toute la terre reconnaît sa puissance
Toute leur personne marque cela
Toutes ces gardes-là sont visions de fous
Toutes ces raisons de douces sympathies
Toutes les apparences du monde
Toutes les belles ont droit de nous charmer
Toutes les serrures et les verrous du monde
Traînés dans les ruisseaux des halles
Trapule di Covello overo Il finto pazzo
Trente ans des yeux et des oreilles
Trente croquignoles ou douze coups de bâton
Tricoter quelque bas par plaisir
Trois ou quatre choses que je vais vous dire
Un Dieu vous soit en aide, alors qu'on éternue
Un Plutarque à mettre mes rabats
Un admirable moyen d'avancer ses affaires
Un amant plairait fort à la dame
Un art d'empoisonner les hommes
Un avis que par vous je veux donner au roi
Un beau manteau de tout ce qu'on révère
Un chacun est chaussé de son opinion
Un chagrin qui n'a nul fondement
Un chapitre à durer jusques au soir
Un charme à calmer toute notre colère
Un coeur ne peut jamais outrager quand il aime
Un coeur préoccupé résiste puissamment
Un compliment bien impertinent
Un concert de musique chez soi
Un coupable aimé triomphe à nos genoux
Un de ces braves de profession
Un des vaillants hommes du siècle
Un docteur qui sait lire et écrire
Un duel met les gens en mauvaise posture
Un enchanteur, qui porte un caractère
Un endroit que je ne veux pas dire
Un fils qui se marie sans le consentement de son père
Un garçon qui n'a point de méchanceté
Un grand bruit et de grands éclairs
Un grand seigneur méchant homme
Un habillement que j'ai pris pour la pluie
Un homme attaqué par trois autres
Un homme d'une grande prévention
Un homme qui croit à ses règles
Un homme qui veut se mêler d'en guérir un autre
Un homme vient là de me rompre en visière
Un je ne sais quel feu que je ne connais pas
Un jeune homme conçut pour moi de l'amour
Un jeune homme qui a besoin d'argent
Un malheur ne vient jamais sans l'autre
Un marteau de tailleur de pierre
Un moment a dissipé toutes ces résolutions
Un mot pour qui il a tant d'aversion
Un mouchoir dans une Fleur des saints
Un oracle jamais n'est sans obscurité
Un original fait comme celui-là
Un patron jeune et fort amoureux
Un personnage dont j'ai besoin
Un petit commerce de visites et de divertissements
Un peu plus sincère qu'il ne faut
Un peu trop au rapport de tes sens
Un plaisir extrême à pouvoir troubler leur intelligence
Un poème en forme d'acrostiche
Un point de Venise et des plumes
Un premier coup d'oeil allume en nous les flammes
Un prince dont les yeux se font jour dans les coeurs
Un récit qu'il faut que je te fasse
Un secret plaisir de s'en ouïr conter
Un sens criminel aux plus innocentes paroles
Un ton de voix languissant et niais
Une étrange partie/Qu'au piquet je perdis hier
Une action pareille à celle-là
Une action qui confonde l'envie
Une autre fois ne soyez point si prompt
Une aversion horrible pour le jeu
Une barbare, pernicieuse et détestable orthographe
Une belle tenture de tapisserie
Une bonne invention pour différer le mariage
Une cérémonie magique de chantres et danseurs
Une certaine grande dignité de son pays
Une chose que tous les siècles ont révérée
Une condition à ne lui point faire de tort
Une conséquence bien plus dangereuse
Une conversation avec ces arbres et ces rochers
Une coupable aimée est bientôt innocente
Une espèce d'homme à qui l'on fera croire ce que l'on voudra
Une femme est pire qu'un démon
Une femme qu'on garde est gagnée à demi
Une femme qui te fera beaucoup d'amis
Une femme se rit de sottises pareilles
Une fille si spirituelle que moi
Une furieuse dépense en esprit
Une grande vertu pour la correction
Une honte horrible à de telles faiblesses
Une honteuse dissipation du bien
Une insolence à nulle autre pareille
Une irruption sur notre friperie
Une jeune fille fondante en larmes
Une mère a une entière puissance
Une méchante vie amène une méchante mort
Une mélancolie la plus sombre du monde
Une personne qui me serve de guide
Une personne qui ne devait pas être faite comme les autres
Une qualité que j'aime en un monarque
Une question galante qui exerce les esprits de l'assemblée
Une table remplie de trop de viandes
Une tendresse qui vous toucherait l'âme
Une troupe de personnes affligées y viennent déplorer sa disgrâce.
Venez nous donner de beaux jours
Vicomtesse de la Basse-Bretagne
Viennent toujours me tendre un piège
Vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices
Visions de noblesse et de galanterie
Vivez, belle princesse, et vivez pour un autre
Vivre sans aimer n'est pas proprement vivre
Voici l'auteur, Monsieur Lysidas
Voilà Sganarelle qui sait pourquoi je suis parti
Voilà mon bonheur hors d'atteinte
Voir au temple la personne dont il devient amoureux
Voir cajoler sa femme et n'en témoigner rien
Vos doutes rencontraient des garants assurés
Vos yeux ont fait ce coup fatal
Votre chaleur, pour lui, tombe en vous séparant
Votre coeur avait eu la bonté de s'expliquer en ma faveur
Votre galanterie, et les bruits qu'elle excite
Votre honneur ne court point de hasard
Votre père ait engrossé votre mère
Votre religion est donc l'arithmétique
Voulez-vous que je fasse des serments épouvantables
Vouloir se mêler de corriger le monde
Vous êtes belle comme un petit ange
Vous appuyez un peu trop sur l'argent
Vous avez tort de défendre ce 'le'
Vous bannirez enfin ce monstre affreux
Vous claquemurer aux choses du ménage
Vous combattrez les choses que je veux
Vous contentant d'être Comtesse
Vous dites les choses avec une netteté admirable
Vous faire dans le monde un nom de seigneurie
Vous faites sonner terriblement votre âge
Vous n'êtes point crevé de toutes les médecines
Vous ne deviez pas me faire un coeur sensible
Vous ne m'aurez de ma vie avec vous
Vous ne me donnez pas, Psyché, toute votre âme
Vous ne pousserez point les affaires à bout
Vous ne pouviez vous mieux adresser
Vous parlez tout comme un livre
Vous parliez tantôt d'un autre style
Vous redites tout comme je l'ai conté.
Vous traiter du mieux qu'il sera possible
Vous voir comme un géant grandir
Vous voir par un autre à mes yeux possédée
Vous voir tenir tout des mains de mon amour
Y a-t-il rien de plus agréable
Zéphire vole aux ordres qu'elle donne